J'ai toujours cru qu'au loin, au delà de la mer
Quelque-part sur cette Terre là, m'attendait celle
Qui me ferait voler ,et déployer mes ailes
Et j’espérais qu'un jour , mon Monde soudain s'éclaire
J'ai cessé de camper, et rencontré le monde
Je l'ai cru rousse et blanche, chinoise ou coréenne
Mais Dieu m'a bien montré, sur les bords de la Seine
Que tout cela n'était , que rêveries profondes
Tu es là , bien réelle, et Dieu a de l'humour
Tu n'es pas la plus belle, ni la femme idéale
Tu es simplement toi , et dépasse mes rêves
Et je suis toujours là , avec tous mes poèmes
Ressentant à la fois crainte et félicité,
Et Remerciant le ciel de t'avoir rencontré